En deux chansons qui prennent aux tripes, Ana Moreau catapulte sans détour dans l’univers de Damien Saez. Rien d’étonnant d’ailleurs à ce que les deux artistes soient des proches.

Ana Moreau et Damien Saez… tout débute par une histoire de fesses. Celles d’Ana (cachées par la bible) illustrant la pochette de l’album « Miami » de Damien. Le visage se révèle ensuite sur le visuel du disque « #humanité ». Entre temps, la discrète demoiselle envoûte des milliers de saeziens lors de la mémorable tournée du Manifeste. Crevant l’écran de son immense regard mélancolique dans les scènes des fameux tableaux cinématographiques.

Au printemps 2020, Ana publie deux morceaux. Des chansons qu’elle a écrites, composées elle-même. Et dont la première écoute plonge instantanément dans la sphère saezienne. Tant dans les paroles que la musique. Mais également dans la façon de poser la voix, ou encore dans les références. Tout particulièrement sur « Florence », cajolante ballade au piano agrémentée de cordes sporadiques.
Et puis il y a « Les lieux du crime ». Poésie jazzy d’une rupture déclamée à fleur de peau. Ourlée de nostalgie contagieuse.
Un talent en éclosion que n’a pas manqué de féliciter Damien Saez sur son site culturecontreculture.
« Je souhaite le meilleur du meilleur à Ana Moreau dans ce voyage qui est de faire des chansons, en humilité mais toujours avec la rigueur la plus grande.
Faire attention aux dangers de ces mondes, mais surtout, toujours, livrer son âme sans jamais tricher ni calculer
Bravo à toi jeune fille au visage d’ange qui a préféré jouer mes mots plutôt que d’aller se vendre à tort et à travers.
Bon courage, le meilleur du meilleur pour toi, ta jeunesse a mon respect éternel.
Bravo frangine. »
#ReviensViteFrangine