Il se prénomme Swan Melani. Sa musique, qu’il a baptisée « opéracore » offre quelque chose d’inédit. Un peu comme la toute première gorgée d’un « Long Island » bien frappé.
Ce cocktail alcoolisé auquel fait référence le single éponyme.

Swan Melani apprécie le jazz, autant que Björk ou encore Chopin. Un prisme large dont scintillent ses propres compositions. Enregistré à Paris, son premier EP arrive en mai prochain. Une poignée de titres sur lequel cet artiste équivoque a joué tous les instruments, à l’exception du saxophone. Tandis que son timbre d’un aigu androgyne diapre l’ensemble de manière onirique.
Derrière l’allusion au cocktail du même nom (vodka, gin, rhum, cointreau, tequila, cola…) « Long Island » décrit un personnage sombrant dans la boisson. Et qui au travers son ivresse, se rappelle. Un morceau jazzy empli de grâce….
#OpéracoreEtÂme