A l’image de la pochette de son quatrième effort solo « Hand. Cannot. Erase. », Steven Wilson colore sa mélancolie, la délie d’une certaine légèreté.
En 11 titres conceptuels, le rêveur surdoué anglais navigue avec maestria entre progressif moderne (les 13 minutes 30 de « Ancestral »), instrumental alambiqué (« Regret #9 ») et délicatesse électro (le magnifique « Perfect Life »)… dense mais magistral.
Let’s play !