On les aime ou on les déteste, il n’y a pas de juste milieu avec les Strokes et leur insupportable leader Julian Casablancas. Le nouvel album “Comedown Machine” ne déroge pas à la règle, il paraîtra creux pour certains et exaltant pour d’autres. Les goûts et les couleurs.
Indice satisfaction : 67%
Ces jeunes branleurs de Strokes nous refont la même, à savoir une Casablancas dépendance flagrante mais qui permet néanmoins au groupe de conserver une signature, une identité propre. Chose suffisamment rare dans le vaste fourre-tout de la Pop-Rock.
“Comedown Machine” fout la banane à plusieurs reprises, excite les mémés et désinhibe les coincés du popotin ! Tantôt Rock, Pop, mélancolique et funky, bref du Strokes dans toute sa splendeur.
Il en ressort tout de même une certaine lassitude, après “Angles“, après l’album solo de Julian, il manque tout de même une étincelle de renouveau. Voire un virage à 360° pour que les Strokes puissent définitivement être considérés comme incontournables.
Mais bon, je reconnais avoir apprécié plusieurs morceaux de l’opus dont l’efficace “One Way Trigger” :
Rock on !