Le nouveau Thierry “titi” Robin vient de sortir, Kali Sultana nous propose un mix cultures et musiques gitanes, tziganes et orientales. Mais il serait réducteur de définir son art comme un simple fusion de sons et de styles. Cet album fleuve a la force du souffle et la fluidité d’un poème lyrique et épique, .
Avant que le courant des musiques du monde n’apparaisse, c’est au sein de ces deux communautés qu’il trouve un écho sensible et encourageant. Outre manche , il est considéré comme un des guitaristes gypsy les plus intéressant de notre temps.
Titi Robin nous a réalisé un œuvre comme à l’usage gorgée de spiritualité. Il le dit si bien :
“L’idée du voyage n’est pas géographique. Ce qui est vraiment important, c’est le voyage intérieur. Celui que l’on fait quand on construit sa vie, sa démarche artistique. Le voyage le plus intense n’est pas sur la route, mais entre nos rêves et ce qu’on arrive à réaliser. Quand je joue de la musique, c’est à ce niveau-là que ça se passe. A La limite, on s’attache au fait que je joue avec des musiciens indiens, gitans, arabes et qu’on voudrait trouver là-dedans un sens à ma démarche, peut-être est-ce un malentendu.“
8 novembre 2008 @ 21 h 38 min
Oh merci pour l’info, je vais me procurer ça !
Un titre que j’adore qui me coule dans les veines, c’est la petite mer extrait de son album alezane. Shalom !